« Rien n’aura eu lieu que le lieu » Cécile Mainardi… en mallarméenne.
{Lieu-dit}, une accolade poétique, a le plaisir de vous annoncer sa 2ième édition, le 11 et 12 octobre 2014, pour son grand réveil.
Vous découvrirez l’édition 2014 de {Lieu-dit} au fil du temps sur notre blog.
Où, quand, quoi et comment, tout sera dit.
Son programme, ses invités, son bus, sa nuit, rien ne sera caché.
Ou presque.
Vous pouvez déjà vous inscrire ici
A se voir et se revoir
A s’entendre
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L’équipe {Lieu-dit}
Ramassage poétique
Programme # samedi 11 octobre, 10 heures
A nouveau, le bus de Bordeaux portera la troupe rieuse et enfantine avec l’impatience de retrouver le chemin. De la route lieuse défileront les toits de vignes, les champs bornés de petites joies, les pattes de vaches bleues, les bâtonnets piqués dans la lande. Tout sera prêt à votre arrivée : l’accueil envisagé de Cecile Mainardi et la douceur d’être désiré.
Inscrivez-vous dès maintenant, cliquez ici !
A nouveau, le bus de Bordeaux portera la troupe rieuse et enfantine avec l’impatience de retrouver le chemin. De la route lieuse défileront les toits de vignes, les champs bornés de petites joies, les pattes de vaches bleues, les bâtonnets piqués dans la lande. Tout sera prêt à votre arrivée : l’accueil envisagé de Cecile Mainardi et la douceur d’être désiré.
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Entièrement vagabonde
Programme # samedi 11 octobre, 12 heures
Cecile Mainardi* écrit pour n’être lu qu’une seule fois. « Le livre ne diminue-t-il pas à mesure que je l'écris, le remplis d'eau, y sublime la sueur, les larmes, le chagrin, le baiser dissolvant, la dissolvance de l'amour ». Cécile gemme les mots pour en extraire la résine, jusqu’à générer l’insistance d’une même fresque. Elle entièrement vagabonde qu’une seule fois.
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*Cecile Mainardi, poètesse, est l’invitée d’honneur de Lieu-dit et vous accueillera pour ses 24 heures non-stop. A écouter : Les textes faits pour n'être lu qu'une seule fois (extrait)
Cecile Mainardi* écrit pour n’être lu qu’une seule fois. « Le livre ne diminue-t-il pas à mesure que je l'écris, le remplis d'eau, y sublime la sueur, les larmes, le chagrin, le baiser dissolvant, la dissolvance de l'amour ». Cécile gemme les mots pour en extraire la résine, jusqu’à générer l’insistance d’une même fresque. Elle entièrement vagabonde qu’une seule fois.
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*Cecile Mainardi, poètesse, est l’invitée d’honneur de Lieu-dit et vous accueillera pour ses 24 heures non-stop. A écouter : Les textes faits pour n'être lu qu'une seule fois (extrait)
Le déjeuner ouvrier
Programme # samedi 11 octobre, 13 heures
Sur les tables à rallonges du cercle ouvrier, sont disposés l’entrée dialectique, le plat de résistance, le dessert et sa cuillère à soupe, les vins d’ici. Les paroles collectives chauffent et les clins d’œil éclectiques et les petits sourires matérialistes. Nous avons faim ensemble. Alors.
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Sur les tables à rallonges du cercle ouvrier, sont disposés l’entrée dialectique, le plat de résistance, le dessert et sa cuillère à soupe, les vins d’ici. Les paroles collectives chauffent et les clins d’œil éclectiques et les petits sourires matérialistes. Nous avons faim ensemble. Alors.
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Les poétesses de fer
Programme # samedi 11 octobre, 15 heures à l'atelier ferroviaire
L’atelier ferroviaire est hanté par les sués de travailleurs, le regorgement du bruit des fraiseuses, le tarage des ressorts de suspension, les presses à caler et décaler, et nos deux voix* femmement belles rouvriront la nef jusque dans ses silences.
Inscrivez-vous dès maintenant, cliquez ici !
*Cecile Mainardi et Caroline Sagot Duvauroux, son invitée.
L’atelier ferroviaire est hanté par les sués de travailleurs, le regorgement du bruit des fraiseuses, le tarage des ressorts de suspension, les presses à caler et décaler, et nos deux voix* femmement belles rouvriront la nef jusque dans ses silences.
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*Cecile Mainardi et Caroline Sagot Duvauroux, son invitée.
La déambulation intime
Programme # samedi 11 octobre, 17 heures
Dans le flot des ruelles, de petits monticules poétiques vous attendent à la Poste, à la Pharmacie, au bistrot, à l’épicerie, au couvent, sur les bancs publics, sur les berges de La Hure. Le village murmure comme un pré de couleurs d’où les empreintes effaceront nos pas.
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Dans le flot des ruelles, de petits monticules poétiques vous attendent à la Poste, à la Pharmacie, au bistrot, à l’épicerie, au couvent, sur les bancs publics, sur les berges de La Hure. Le village murmure comme un pré de couleurs d’où les empreintes effaceront nos pas.
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Le 6 et 7 juillet 2013
Lieu-dit organise sa première rencontre autour de la poésie. Remi Checchetto, poète et auteur de théâtre, a accepté d'en être l'invité d'honneur. La rencontre se déroulera durant 24 heures non stop, avec un rythme de programmation toutes les deux heures. Un bus prendra 50 passagers/participants à Bordeaux le samedi 6 juillet à 10 heures, pour les amener à Cendrieux en Dordogne puis les ramènera le dimanche vers 17 heures.
Sous le murier blanc, des éditeurs, des revues, des auteurs, des ombres vous accueillerons. La porcherie cachera le livre du blog. Remi Checchetto invitera Jean-Marc Bourg. Les chemins iront jusqu'à l'atelier de Françoise. L'étable se transformera en Paul's Place. La radio "Lieu-dit" émettra de vous, d'ailleurs pour participer à la lecture, c'est ici ! Antoine Romana jouera une saison en enfer. Dans l'église de Cendrieux, une messe-dite fera foi, à la bonne heure. Chez Josette, l'unique bar du village, l'apéro d'adieu sera une évidence.
L'écrit à ses mots à dire, Lieu-dit s'attachera à les faire partager, puis le soleil cendreux fera le reste.
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Sous le murier blanc, des éditeurs, des revues, des auteurs, des ombres vous accueillerons. La porcherie cachera le livre du blog. Remi Checchetto invitera Jean-Marc Bourg. Les chemins iront jusqu'à l'atelier de Françoise. L'étable se transformera en Paul's Place. La radio "Lieu-dit" émettra de vous, d'ailleurs pour participer à la lecture, c'est ici ! Antoine Romana jouera une saison en enfer. Dans l'église de Cendrieux, une messe-dite fera foi, à la bonne heure. Chez Josette, l'unique bar du village, l'apéro d'adieu sera une évidence.
L'écrit à ses mots à dire, Lieu-dit s'attachera à les faire partager, puis le soleil cendreux fera le reste.
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Sans Cadillac ni Cahuzac
Programme # samedi 6 juillet, 10 heures
Du bus au départ de Bordeaux commence le voyage. Une expérience simple, sans plein d’essence, sans gilet jaune, sans éthylotest électronique, sans orientation ni boule bleue, sans clignotant littéraire, sans klaxon pouët, sans pattes de vache, sans Pennequin, sans rétroviseur à lèvres, sans frein à main, sans tennis elbow, sans embrayage métaphysique ni prétention automatique, sans ceinture d’ubiquité, sans Cadillac ni Cahuzac. Arrivée vers 11 heures 30 à Cendrieux.
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Du bus au départ de Bordeaux commence le voyage. Une expérience simple, sans plein d’essence, sans gilet jaune, sans éthylotest électronique, sans orientation ni boule bleue, sans clignotant littéraire, sans klaxon pouët, sans pattes de vache, sans Pennequin, sans rétroviseur à lèvres, sans frein à main, sans tennis elbow, sans embrayage métaphysique ni prétention automatique, sans ceinture d’ubiquité, sans Cadillac ni Cahuzac. Arrivée vers 11 heures 30 à Cendrieux.
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Accueil de la Rime
Programme # samedi 6 juillet, 12 heures
Rémi* vous accueille en lecture, celui d’un texte original mijoté en résidence à Cendrieux entre les herbes droites et les arbres dépliés. Rémi écrit la respiration, Rémi écrit l’observation, Rémi écrit l’espace parfois avec des mots en murmure d’uppercut. Rémi est déjà une rencontre. Vraie et vraie pour chacun. Rémi m’a dit que Rémi s’écrit avec un « i » comme Rime, cela vaut bien une rencontre anagrammatique chez Lieu-dit. Inscrivez-vous dès maintenant, cliquez ici !
* Rémi Checchetto, poète et invité d’honneur de Lieu-dit.
Rémi* vous accueille en lecture, celui d’un texte original mijoté en résidence à Cendrieux entre les herbes droites et les arbres dépliés. Rémi écrit la respiration, Rémi écrit l’observation, Rémi écrit l’espace parfois avec des mots en murmure d’uppercut. Rémi est déjà une rencontre. Vraie et vraie pour chacun. Rémi m’a dit que Rémi s’écrit avec un « i » comme Rime, cela vaut bien une rencontre anagrammatique chez Lieu-dit. Inscrivez-vous dès maintenant, cliquez ici !
* Rémi Checchetto, poète et invité d’honneur de Lieu-dit.
Fast-nique ou pique-food
Programme # samedi 6 juillet, 13 heures
Vers la table fleurie et fruitée d’allégorie, s’étalent et le pain frais et les tartes fines et les multiples légumes souriants du potager de Françoise et le vin gracieux d’Hélène. Tout est cueilli manuellement, juste courbé, à quelques terres de là. Il y a les arômes vifs, les parfums nuanciers, les tintes exhalées du pli des arbres, les échos coloriés du dehors. Vous avez hâtivement faim !
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Vers la table fleurie et fruitée d’allégorie, s’étalent et le pain frais et les tartes fines et les multiples légumes souriants du potager de Françoise et le vin gracieux d’Hélène. Tout est cueilli manuellement, juste courbé, à quelques terres de là. Il y a les arômes vifs, les parfums nuanciers, les tintes exhalées du pli des arbres, les échos coloriés du dehors. Vous avez hâtivement faim !
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L'acteur de texte
Programme # samedi 6 juillet, 15 heures
Rémi invite Jean-Marc Bourg, son acteur de texte. Car. Il sait l’expérience des mots, de la sollicitation de leur forme à la naissance de leur sens. Car. Il sait la naissance du geste sonore jusqu’à la peau de syllabes accélérées. Car. Il bourre la parole de chair en y décossant les orientations. Car. Il marche droit vers l’intérieur du ventre comme le bon soldat de la poésie.
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Rémi invite Jean-Marc Bourg, son acteur de texte. Car. Il sait l’expérience des mots, de la sollicitation de leur forme à la naissance de leur sens. Car. Il sait la naissance du geste sonore jusqu’à la peau de syllabes accélérées. Car. Il bourre la parole de chair en y décossant les orientations. Car. Il marche droit vers l’intérieur du ventre comme le bon soldat de la poésie.
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(Re)tenue obligatoire
Programme # samedi 6 juillet, 17 heures
Le footing poétique parcourt - silencieusement – et les chemins et les vires et les laies de la campagne œuvrée. Les mots apparaissent à chaque petite foulée et s’offrent en bouche comme des hoquets sensuels. Puis à bout de course, il faut rendre tous ses mots (re)tenus, d’un crachat de joggeur. Donatien, poète aux baskets crayonnés de couleur, orchestre alors l’atelier d’écriture.
Le footing poétique parcourt - silencieusement – et les chemins et les vires et les laies de la campagne œuvrée. Les mots apparaissent à chaque petite foulée et s’offrent en bouche comme des hoquets sensuels. Puis à bout de course, il faut rendre tous ses mots (re)tenus, d’un crachat de joggeur. Donatien, poète aux baskets crayonnés de couleur, orchestre alors l’atelier d’écriture.
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Paul’s Place* Hors les murs
Programme # samedi 6 juillet, 19 heures
Qu’un partage de voix, celle de Paul d’abord, puis celle de Donatien, puis celle de Philippe, puis celle de Rémi, puis celle de chacun, vêt le corps. Qu’une lecture de passe à l’autre, vêt le corps. C’est beau les voix de chacun quand elles suivent l'entre ligne, jusqu’à l’impression d’entendre un souvenir d’enfance. De Bordeaux à Cendrieux.
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* Chez Paul Turpin, 76 rue Notre-Dame à Bordeaux, Paul’s Place est une rencontre poétique autour de lectures libres, animée par Donatien G. en alternance avec Philippe M., tous les derniers jeudis du mois à 20 heures.
Qu’un partage de voix, celle de Paul d’abord, puis celle de Donatien, puis celle de Philippe, puis celle de Rémi, puis celle de chacun, vêt le corps. Qu’une lecture de passe à l’autre, vêt le corps. C’est beau les voix de chacun quand elles suivent l'entre ligne, jusqu’à l’impression d’entendre un souvenir d’enfance. De Bordeaux à Cendrieux.
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* Chez Paul Turpin, 76 rue Notre-Dame à Bordeaux, Paul’s Place est une rencontre poétique autour de lectures libres, animée par Donatien G. en alternance avec Philippe M., tous les derniers jeudis du mois à 20 heures.
Le banquet à l'oeuvre
Programme # samedi 6 juillet, 21 heures
Hors d’œuvre : taboulé de quinoa aux légumes, salade de haricots verts de chez Françoise.
L’œuvre : aiguillettes de canard aux cèpes, compotée de légumes de saison.
Post œuvre : brie à la coupe et panna cota aux fruits rouges.
Le tout accompagné du vin d’Hélène et d’un barde discret.
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Hors d’œuvre : taboulé de quinoa aux légumes, salade de haricots verts de chez Françoise.
L’œuvre : aiguillettes de canard aux cèpes, compotée de légumes de saison.
Post œuvre : brie à la coupe et panna cota aux fruits rouges.
Le tout accompagné du vin d’Hélène et d’un barde discret.
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Textes en Fuite
Programme # samedi 6 juillet, 23 heures
C’est une performance musicale à coup et d’électronique bruitée, et de gracieuses basses, et de textes énoncés. Ceux de trois auteurs*, publiés dans la revue Fuite, et lus par deux lectrices**, en fuite pareillement. D’où l’intime bousculade, le sonore de la bouche, l’expression de la face, la compréhension notée, tendent vers le musicalement.
Inscrivez-vous dès maintenant, cliquez ici !
*Revue Fuite #2 : textes de Leslie SCALAPINO, de Marina BELLEFAYE et de Maxime ACTIS
** Lectrices : Alizon PERGHER et Pauline PUJOL / Musiciens : Boudi SALON et Simon BEDY
C’est une performance musicale à coup et d’électronique bruitée, et de gracieuses basses, et de textes énoncés. Ceux de trois auteurs*, publiés dans la revue Fuite, et lus par deux lectrices**, en fuite pareillement. D’où l’intime bousculade, le sonore de la bouche, l’expression de la face, la compréhension notée, tendent vers le musicalement.
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*Revue Fuite #2 : textes de Leslie SCALAPINO, de Marina BELLEFAYE et de Maxime ACTIS
** Lectrices : Alizon PERGHER et Pauline PUJOL / Musiciens : Boudi SALON et Simon BEDY
Une électro poétique / Part I
Programme # dimanche 7 juillet, 1 heure
C’est l’instant de remuer son corps d’ici à ici. L’épaule. Le bassin. Le coude. La nuque. Les chevilles. Le menton. Le plat du pied. C’est l’instant de regarder par dessus les sons et d’entre apercevoir le sel des étoiles sur les champs tachés. C’est l’instant de se laisser emporter par un refrain de vibration, mu en bloc par DJ Riri.
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C’est l’instant de remuer son corps d’ici à ici. L’épaule. Le bassin. Le coude. La nuque. Les chevilles. Le menton. Le plat du pied. C’est l’instant de regarder par dessus les sons et d’entre apercevoir le sel des étoiles sur les champs tachés. C’est l’instant de se laisser emporter par un refrain de vibration, mu en bloc par DJ Riri.
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Une électro poétique / Part II
Programme # dimanche 7 juillet, 3 heures
C’est l’instant d’après le remuement où le remué persiste sur le plat de la cour et sur les petits pans de mur. La musique rétive et trotteuse persiste dans le ventre. Quelques notes transmuent les mots hors sol. L’Odyssée pornographisme parle et mécaniquement ressent. Fluxus joue et déroule l’encre. DJ Riri bouge encore son dos carré pendant que la nuit rythmée persiste dans l’aube.
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Une saison (en) enfer
Programme # dimanche 7 juillet, 5 heures
C’est un lever de rideau. D’où la brume mâtine les paroles, les larmes lentes, les palindromes controversés. D’où l’air suspend le murier blanc, le maïs bleui, l’herbe riante. Antoine* assoit la Beauté sur ses genoux. Caresse l’intime. Et lit jusqu’au fond de Rimbaud.
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*Une Saison en enfer d’Athur Rimbaud, lecture d’Antoine Romana.
C’est un lever de rideau. D’où la brume mâtine les paroles, les larmes lentes, les palindromes controversés. D’où l’air suspend le murier blanc, le maïs bleui, l’herbe riante. Antoine* assoit la Beauté sur ses genoux. Caresse l’intime. Et lit jusqu’au fond de Rimbaud.
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*Une Saison en enfer d’Athur Rimbaud, lecture d’Antoine Romana.
Les cent tartines
Programme # dimanche 7 juillet, 7 heures
Voilà le pain tranché jusqu’au quignon, entre une ballade de beurre et un refrain de confitures. Les doigts fendent la mie désaccordée où l’odeur du foyer oriente le bonheur. Les gestes progressifs soufflent une matinée lente où la lumière filtre les orangeades. Les bouches se parlent sous la langue encordée où la liberté du signifiant semble quelque chose.
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Voilà le pain tranché jusqu’au quignon, entre une ballade de beurre et un refrain de confitures. Les doigts fendent la mie désaccordée où l’odeur du foyer oriente le bonheur. Les gestes progressifs soufflent une matinée lente où la lumière filtre les orangeades. Les bouches se parlent sous la langue encordée où la liberté du signifiant semble quelque chose.
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